Triste ou tendre la voûte
Envolée par la porte
Dérobée dans ce cadre noir
Puits d’ombre écoute
L’arc qui se dissout
Quand viendra voir
Par la fente rayée
D’un volet déplié
Les feuilles mortes
Evaporées
Dans les vestiges du soir
D’autres portes et fenêtres.
Je ne trouve pas les mots… J’aime ceux qui sont venus se posés sur d’aussi belles ombres et lumières… Emouvant regard que le tien… Mais ce n’est pas une surprise !
Merci beaucoup à toi Cécile.
J’apprivoise souvent mieux les mots quand je les laisse s’échapper…