Je suis assise au cœur de ma nuit
Immobile et mouvante comme l’arbre qui sait
La lune jette sa clarté sur un peuple qui se tait
et murmure
Invisible pour mon cœur sourd et muet
Qu’un mot seul
Suffirait à guérir
Les deux premiers vers sont sublimes…
C’est la nuit qui me les a inspirés…
Merci à toi de tout coeur!
« Immobile et mouvante comme l’arbre qui sait »… J’adore.
Décidément… :-)
J’aime beaucoup ce poème.
Il est intemporel et ne t’appartient déjà plus…
Bravo !
Vous reviendrez me voir, Darlinglilly?