Au long souffle du soir, je tends la main vers toi. Tu ne m’as pas vue, tout entier ravi dans la contemplation d’une mésange qui s’accroche à ce mur de pierres, dans le jardin d’à côté, les ailes frémissantes dans l’air fraîchissant.
Au long souffle du soir, je tends la main vers toi. Tu ne m’as pas vue, tout entier ravi dans la contemplation d’une mésange qui s’accroche à ce mur de pierres, dans le jardin d’à côté, les ailes frémissantes dans l’air fraîchissant.