Puisque le temps s’est retiré
Tu puises dans un lieu
Que je ne puis dire
Désert en silence
Où le plein est en creuxLa raréfaction du sens
Te répond par la chute
D’un signe non pas
Celui de la main
Dont l’empreinte a disparuEt je te crois
Tu parles d’un chemin
Étroit comme un fil
Où seule la feuille
Se plie pour passerMissive montant
Ce Novembre en filigrane
Ton portrait
Obscurci dans la seconde
Figée
Je vous envie… (aux anges, de toute beauté)
Tes visites sont toujours un plaisir attendu, chère mademoiselle.
Tu parles d’un chemin
Étroit comme un fil
Où seule la feuille
Se plie pour passer
Je garde ces quatre vers enfantissages. Merci.
Je vous en prie, Frédérique. (J’attends avec impatience mon colis ;-) )
bonjour
j’aime ces vers
j’aime cet air
j’aime novembre
j’y suis née
Lilia, moi aussi j’y suis née… Merci beaucoup de votre visite!
(J’ai essayé de poster un commentaire chez vous, mais impossible de saisir mes coordonnées…)
tu cliques juste sur lilia
refais,j’attends ton avix oubien va sur google cliques mifiguesmiraisins t je viendrai bises
J’ai pu aller sur ton blog (en corrigeant ton lien), mais c’est une fois là-bas que je ne peux valider un commentaire faute de trouver mon cas dans la liste proposée.
J’aime beaucoup l’image de cette feuille qui se plie pour passer…
Je suis née aussi en en ce mois « en filigrane »…
Novembre flamboie et je ne m’en lasse pas. Merci pour ta visite, Petit Poucet rêveur!