Franchis la porte cette arche pont changeur nul battant un vide pour seuil et une muraille traversée par une onde un corps en apesanteur qui pourrait tournoyer mais une porte à franchir fente meurtrière ferme les yeux retiens ton souffle tu flottes dans ta robe d’air nulle sentinelle nul gardien plonge sous l’arc ployé il n’y a rien de l’autre côté.
j’aime un vide pour seuil (et le reste aussi)
Merci beaucoup Christine.
vertige sans reddition.
Encore le grave(s)?
une nature
hein?
Pardon.
Comment?
une nature que d’être toujours près du … grave