Tu voudrais cheminer percé par des lignes de fuite brisées
Médusé par ces verticales coupantes au-dessus de ta têteTon regard me pousse je glisse sur la plaine encerclée
Qui se résume à cette place que je rêve campo sorcierOn pourrait traverser par le traghetto de l’autre côté
Tu le sais toi qui tourne le dos quand je m’échappeTu détournes le regard et tu files déjà sur la crête
Lignes brisées qui me poussent c’est ainsiQue se sont télescopés deux rêves dans une ville
On se demande comment ils se sont rencontrés finalement !
Peut-être qu’ils se connaissaient déjà…
Telle élucidation étincelant les devenirs d’osmoses , habiter l’hermétique trame de nos fuites . Un temps . Puis se fuir à nouveau puisque nous nous reconnûmes . Brisés par l’instance .
Ouf, y a des tronches chez toi !
Lebrac,
Ni avec toi, ni sans toi ? Nous voilà plongés dans un film de Truffaut, au temps des amours impossibles.
Kouki,
Oui, t’as vu!