Un fragment de miroir posé dans l’herbe du pré reflète un ciel en tessons tu fredonnes un air doux clapotis moelleux et douillet je pose dans la fraîcheur d’un été futur des pas de fourmi sur la ligne quiète du temps clair tu admires ton reflet dans la baignoire à pieds convertie en abreuvoir et tu ris toute une salle de bain transportée au dehors pour les bêtes qui paissent pleines de grâce la prairie tendre et suave pas de géant dans l’air clément et rose du soir qui patiente il attend son troupeau qui marche vers la nuit d’un pied paisible et le monde en tournant nous berce dans la tendresse de ses rivières avec tous ses autres enfants.
o oui, et çà serait le printemps !
Je vais attendre que Mlle d’enfer(t) commente.o)
(… Ou Anna)
de toute façon ça marche aussi avec kouki.
Je ne commente jamais après kouki.
Je vais marcher à pas de fourmi aujourd’hui.
un apaisement on sent
Kouki, le printemps, l’été… on en a déjà discuté ;o)
Luc, si tu fais un concours avec toi-même, je crois que tu as déjà gagné.
Anna, attention c’est trois pas de géants après.
Christine, apaisement je ne sais pas. Désir d’un apaisement, sûrement ;-)