On pourrait croire que la vie est là dans l’anfractuosité des linceuls au vent j’embrasse l’énergie de la montagne et ta main glacée dans mon dos en frissons délicieux je disparais car la vie est là dans l’anfractuosité de la mort des corps et des mots tes yeux ont beau me peindre dans la rougeur des épices ou coquille m’asperge de tes eaux en bataille pourvu que marais m’oublie quand vase m’étreint ce n’est pas toi tu es la vie ce chemin invisible pas l’autoroute qu’on entend dicte la voie la vitesse je marche et j’ai fardé mes joues pâles avec la suie des cratères.
plonger et y être bien, oui
ça vit. ça prend juste là sous le sein gauche. Toujours une aussi belle musique…
ouh que t’y es belle avec tes joues de ramoneur …
Brigetoun, être bien dans la vie, oui!!!
mamzelle, ça palpite!
kouki, oh merci, c’est vrai tu me trouves belle? j’ai plus qu’à me trouver un berger :-)
Oui et ça lumine… (come dirait peau lit noeud)
Joli :-)