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dans la vague
en rythme
chronophage
dans l’apathie générale
instant fini
dans la glose
des envergures
les vibrations de ta peau
que la pulpe du doigt
caresse
dans la boucle du temps
aboli
sans les percussions
sans les persécutions
à l’âme des instruments
à l’abri des tourmentes
je m’apaise
je jouis
dans le vent en robe
dégoulinante
on pourrait
passer le monstre
s’est endormi
Cerbère des champs
de colza
en robe dégoulinante dans le vent
j’aime beaucoup
merci ma Kouki,
je l’aime pas trop de ce poème en fait. J’ai hésité à le publier.
Bon, là j’ vais dire un truc, pour une fois : j’ suis d’accord avec vous.
Un p’tit correctif : y a des trucs bien mélangés à des mots.
Peut-être mais ça n’en fait pas pour autant quelque chose d’intéressant. Enfin merci quand même.
Merci pour vos corrections.
Qu’est-ce que vous lui reprochez à ce poème? Je le trouve chouette, moi…
Surtout la dernière strophe.
Mais où est passée la chevelure??
Désolée Aléna, la chevelure crayonnante a disparu! ;-)