Toi
vibre
météore
dans les couleurs de la mer
au centre des peuples
éteints
enveloppée d’une voile
de lenteur
circule
la sève
survole
encore
poussent tes heures
au ras des vagues
l’ombre des falaises
à tes pieds
s’évapore
à tes pieds
et les mains face au ciel
en éclats
tu reçois
la lumière
miroite
et toi
dans l’étirement de tes fibres
éclore
tu croîs
étirement, épanouissement, être corps dans l’air
c’est à la fois aérien, léger, et pourtant l’atmosphère est lourde… Toujours des mots qui saignent (ou peut-être est-ce ma perception?). J’aime (pour changer ;) )
Quoiqu’en troisième position je dirai quand même que j’ai failli être un oiseau en te lisant…
Dis ! ça fait longtemps !
Djuliet est là … oui, c’est bien toi :O)
A te voilà, Pomponnette ? :o)
Ouch ! ça prend le coeur dans l’ élan !
J’aime ça !
Brigetoun, un désir de légèreté…
Mamzelle, tu as raison, toujours tendue entre deux extrêmes :)
Luc, tu fais un bel oiseau. Ben oui, longtemps !
Kouki, :)
Anna, comment t’as deviné ?
Isabelle, merci (t’as pris ton parachute ?) :)
Lent vol sybillin
d’où vous nous revenez
absconse encore .
Qu’êtes vous donc ?
Enquête vous donc ?
Tant d’ombres écloses
où délier le froissement des roses .
Eclore en crues .
Exhorter son coeur à nu .
Eclore encore .
Ben, heureusement que j’ sais lire.
Je ne viens pas souvent mais c’est toujours bien. Hum ! Les peuples éteints pourraient bien s’allumer.
Enfantissages, croire ne suffit pas. Eclore, tu vas.
Je me suis sentie bien dans ces textes. Je reviendrai.
Où es-tu, que fais-tu? (je pense à toi)
Un long envol…
Aérien loin du chlore.
De loin à vous merci.
Bienvenue à Lutin et à Gondolfo.