Je suis comme quelqu’un qui rêve de s’échapper d’une prison dont la porte est ouverte.
Enfantissages
poésie, photographie
Je suis comme quelqu’un qui rêve de s’échapper d’une prison dont la porte est ouverte.
pareil, enfermée dedans, sans barreaux…
Un beau jour, en les regardant bien, du dedans, ils commencent à se désagréger :-)))
J’espère qu’en ce début d’année tu sauras franchir cette porte et t’envoler.
zelapin,
je me dis qu’il y a sans doute quelque chose peut-être pas d’universel, mais en tout cas de très commun dans ce sentiment diffus d’emprisonnement. Bonne année à toi, tous mes voeux d’évasion.
mamansursaplanete,
merci pour ces mots d’espoir. Venant de toi, j’y crois :-) !
captaine lili,
je l’espère!
Au fait je crois bien que j’ai oublié de t’envoyer quelque chose…
N’hésite pas à réclamer si je tarde encore!
Et très belle année à toi, tous mes voeux de réussite pour tes projets.
Et bien… je ne sais que dire… Moi aussi j’espère que cette nouvelle année et ramènera à toi même et à nous par la même occasion ;-) Et que tu trouveras l’envol vers la Lumière et la Joie…
Des bises
Merci Erika!
Des bises à toi aussi.
Oui, oui, je veux toujours ton quelque chose ! J’ai pensé que tu ne voulais plus, je n’ai pas osé insister, et j’étais désolée d’avoir à trouver une autre illustration à mon poème… :-)
Bonjour.
Il y avait longtemps que je n’étais venue.
Ce texte me rappelle une surprise récente : quelqu’une vient chez moi. Sans prévenir. Quelques petites rattes -des pdt- , un hareng saur, deux yaourts, deux doigts de cidre « Je suis venue chez toi » dt-elle « pour trinquer à une année légère ! » J’étais justement d’une lourdeur implacable. Je lui fais suivre ce texte que vous nous offrez. Je vous souhaite un doigt de légéreté -et plus à notre convenance- Amicalement
Lania,
Voyez, il y avait moi aussi, très longtemps que je n’étais venue.
Ce n’est plus l’année nouvelle c’est la rentrée. Le temps suspendu reprend sa course folle.
Belle petite histoire!
Merci pour cette légèreté dont j’aimerais bien me parer!