Tu vois donc ce puits de l’imaginaire ressemblance adaptée, recordée, ébloui par l’étincelle d’un rêve sans portée : querelle, et suite époustouflante de délices écarlates, blanche comme la nuit éternelle du poisson qui ne respire pas et adjure le pêcheur à l’engloutissement, pour que ses membres, un à un, disparaissent à l’irrémédiable tempête ordinaire et sanglante.
tempête ordinaire et sanglante … ouf … j’aime vraiment!
Merci! (N’oublie pas de respirer! ;-) )