Je ne peux
rien
dire
d’autre
que le bruit de l’eau
la naissance
silencieuse
de ce corps d’étoile
à l’ombre
du grand arbre
et ce dos nu
sous la lumière crue
du printemps
Je ne peux
rien
dire
d’autre
que le bruit de l’eau
la naissance
silencieuse
de ce corps d’étoile
à l’ombre
du grand arbre
et ce dos nu
sous la lumière crue
du printemps
évidence, rayonnement secret
délicatesse d’altesse
« corps d’étoile’, ça, j’adore! et commencer par « je ne peux rien dire », j’adore aussi. C’est lumineux!
Jolie évocation.
là où les mots s’arrêtent, parfois le poème naît…
Pohétique.
ça palpite, la sève… Désir de bleu et jaune primaires emmêlés.
Merci à tous :)
(MCA sans vouloir faire encore ma susceptible vous pouvez me dire ce que c’est que ce « h »?)
La huitième lettre de l’alphabet.
Mouais. Je suis bêtement tombée dans le panneau…
Toujours est-il que ce mot-là n’est pas dans mon dictionnaire.
C’est le « h » qui tranche les vers :)