Je te bois
et tu tournes autour de moi
brise folle me fend
brise mes reins
d’une secousse
un tremblement
la fissure d’une goutte de pluie
sur la vitre
quand toi
traversé
par les rais de l’averse
tu me soulèves
d’un regard
Je te bois
et tu tournes autour de moi
brise folle me fend
brise mes reins
d’une secousse
un tremblement
la fissure d’une goutte de pluie
sur la vitre
quand toi
traversé
par les rais de l’averse
tu me soulèves
d’un regard
« Un vrai tonnerre de Brest allumait ses feux d’artifices » … et là, Hey Djuliet !
Du sensuel pour assouvir mon appétit… Te relire c’est comme avoir été privée de caresses pendant un temps infini et enfin… être emportée par un effleurement. :)
Orage otée d’Espoir . Jamais !
Distinguer les fissures dans les gouttes de pluie. C’est en cela que le poète est voyant.
Kouki, juste là un instant dans l’éclair d’un orage.
mlle d’enfer(t), mental note: ne pas priver la demoiselle d’enf de sa dose de sensualité, danger ;-)
Lebrac, un jour j’ai cessé de perdre espoir. Bien ou mal m’en a pris.
Dominique Boudou, je me sens bien aveugle pourtant…
« La fissure d’une goutte de pluie », Dominique Boudou a raison, le/la poète voit au-delà, en deça, à travers, par dessus, par dessous, derrière.
Vous lire est d’un immense plaisir.
Je pense que je passerai ici plusieurs fois.